Jour de libération fiscale
C'est aujourd'hui, le 27 juillet 2017, que les Belges fêtent leur jour de libération fiscale.
Cette manière de représenter la charge fiscale est pédagogique.
On pourrait tout aussi bien la représenter par une heure de la journée ou en pourcentage de la classe.
Bien sûr, ce ratio est imparfait comme tout ratio.
Tout d'abord parce que c'est une moyenne. Cela veut dire que certains d'entre nous sont libérés avant et d'autres, après et pour certains bien après.
Ce qui est assez amusant, ce sont les tentatives désespérées des opposants à ce concept pour essayer de le nier....
Par exemple: on travaille pas pour l'Etat, puisque tout cet argent nous revient.
C'est faux pour au moins deux raisons: d'abord parce que entre la perception par l'Etat et la réception par les citoyens, il y a des pertes. Ce que l'on pourrait appeler "les frais généraux de l'Etat". Ensuite parce que c'est oublier le rôle de redistribution.
Un autre argument est que si les impôts étaient moins élevés, notre niveau de vie en pâtirait.
Or, l'IDH qui est une mesure du bien-être, n'est pas corrélé au niveau des impôts; loin de là:
La Belgique se retrouve en 22ème position... loin derrière la Suisse qui n'est pas connue pour un taux d'impôt élevé...
Le FMI faisiait déjà l'an passé une recommandation pour une amélioration de l'efficacité des dépenses publiques
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1536/Economie/article/detail/3029164/2016/12/12/Les-finances-publiques-belges-inquietent-le-FMI.dhtml
On pourrait tout aussi bien la représenter par une heure de la journée ou en pourcentage de la classe.
Bien sûr, ce ratio est imparfait comme tout ratio.
Tout d'abord parce que c'est une moyenne. Cela veut dire que certains d'entre nous sont libérés avant et d'autres, après et pour certains bien après.
Ce qui est assez amusant, ce sont les tentatives désespérées des opposants à ce concept pour essayer de le nier....
Par exemple: on travaille pas pour l'Etat, puisque tout cet argent nous revient.
C'est faux pour au moins deux raisons: d'abord parce que entre la perception par l'Etat et la réception par les citoyens, il y a des pertes. Ce que l'on pourrait appeler "les frais généraux de l'Etat". Ensuite parce que c'est oublier le rôle de redistribution.
Un autre argument est que si les impôts étaient moins élevés, notre niveau de vie en pâtirait.
Or, l'IDH qui est une mesure du bien-être, n'est pas corrélé au niveau des impôts; loin de là:
La Belgique se retrouve en 22ème position... loin derrière la Suisse qui n'est pas connue pour un taux d'impôt élevé...
Le FMI faisiait déjà l'an passé une recommandation pour une amélioration de l'efficacité des dépenses publiques
http://www.7sur7.be/7s7/fr/1536/Economie/article/detail/3029164/2016/12/12/Les-finances-publiques-belges-inquietent-le-FMI.dhtml
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